Immeuble de logement, Thônex (GE)
↓Réhabilitation d’une ferme, Thônex (GE)
Requalification espaces publics, Vieux-village Chêne-Bougeries(GE)
Espaces extérieurs des immeubles Miléant-Borges, Genève (GE)
Parc linéaire au bord de l’Arve, Genève (GE)
Requalification de l’avenue Louis-Casaï, Genève (GE)
Centre d’archives, La Chaux-de-Fonds (NE)
Rénovation d’une villa, Chavannes-des-Bois (VD)
Musée d’Histoire Naturelle, Genève (GE)
Espace famille, Vernier (GE)
Établissement médico-social, Martigny (VS)
La commune de Morcote s’est développée de façon étroite et allongée au sud-est du lac de Lugano, sur les pentes du promontoire du mont Arbostora.
Tandis que la façade sur le lac est dictée par des bâtiments d’une grande importance historique et architecturale qui forment le noyau de Morcote, les hauteurs de la commune sont caractérisées pas des terres plantées de vignes, en milieu desquelles s’élèvent plusieurs bâtiment à fonction religieuses.
Ainsi se créent deux environnements différents et séparés : le noyau principal en contact avec le lac et le noyau religieux en contact avec la pente et avec ce qui le constitue. Ces deux entités sont aujourd’hui mal reliées et l’accès au noyau religieux est rendu relativement difficile.
Les monuments architecturaux, les rues étroites à l’intérieur du village, les arcades qui se développent au bord du lac et la végétation mixte et variée qui caractérise la commune, font par ailleurs de cette dernière un village précieux à protéger.
Le projet s’implante dans un quartier de villas en mutation, sur une parcelle de taille relativement petite et à la géométrie accidentée. La forme en gradins de cet immeuble de 7 logements résulte de ces contraintes parcellaires et de la proximité de la zone forestière. De grandes terrasses se développent ainsi au sud et offre un prolongement extérieur généreux à chaque appartement.
Les logements, du 1 au 5 pièces, s’articulent autour d’un noyau central offrant à chacun plusieurs orientations vers l’extérieur. Le travail sur les typologies offre différentes configurations d’appartements pour une diversité de ménages.
Au nord, la proximité du cordon boisé confère une atmosphère calme et un caractère intime à la parcelle. De ce côté, tournant le dos au reste du quartier, les logements profitent de cette ambiance apaisée en lien avec la végétation proche. Alors que l’enchainement des terrasses souligne l’identité du projet, sa composition cherche l’intégration dans le paysage environnant.
Le projet se saisit des caractéristiques du site pour mieux ancrer l’ilôt dans la trame urbaine du secteur en maximisant la porosité et en multipliant les traversées. La situation urbaine et la nature des programmes (logements, appart’hôtel, équipements sociaux) nous ont conduit à proposer des formes urbaines simples et compactes. A l’extrémité Est de la pièce urbaine, le projet offre un front urbain sur l’avenue des Plaines-du-Loup. A l’ouest, la toiture du parking centralisé devient support d’espaces publics en proposant des usages variés ( terrain de sport, serres).
La typologie de l’immeuble à cour intérieure propose des espaces collectifs partagés généreux : 3 cours intérieures partagées ainsi que des séjours communs crééent grâce à la variation de la trame constructive.
Situées aux extrémités du mail central, les pièces urbaines 4 et 5 ont la particularité de marquer les entrées du quartier. Le projet prend appui sur les éléments du contexte existant et futur. La forme urbaine offre un cœur d’îlot organisé en plusieurs sous-espaces combinés, proposant une diversité d’espaces publics amples et aérés au travers desquels les circulations sont fluides. A contrario des autres pièces urbaines, le parc pénètre à l’intérieur des cœurs d’îlot pour assurer une meilleure articulation avec les quartiers existants. Cette symbiose entre bâtiments et parc offre une grande diversité de situations au sein des pièces urbaines, tant pour les logements que pour les espaces extérieurs, multipliant les usages générés au bénéfice de tous.
Pour rompre la hauteur des bâtiments liée à la forte densité du programme, le projet adopte une expression de deux types de volumes superposés : un socle maçonné plus massif en béton est surmonté de volumes plus fins et fractionnés en bois. Les volumes superposés alternent des panneaux de bois et de verre en une composition simple et sobre. Les typologies de logement déclinent un module de base en l’adaptant aux situations et programmes. La majorité des appartements jouissent d’une double orientation et chaque séjour bénéficie d’une orientation sud- sud-ouest. Un jardin d’hiver prolonge les séjours systématiquement, apportant lumière et flexibilité d’usage aux logements.
Le projet se saisit de l’emplacement de la pièce urbaine dans le quartier pour offrir un espace ouvert identifiable, précieux et calme. La recherche d’un coeur d’ilôt généreux, unitaire et accessible conduit à proposer des volumes simples et compacts. Le sol du projet est un grand socle unitaire qui laisse les arbres de hautes tiges et les plantes créer une canopée pérènne.
Le bâtiment à patio vient en continuité du jardin central offrant un lieu calme en surplomb de la canopée. Ce bâtiment articule l’ensemble des programmes autour de ce patio proposant ainsi à ses habitants un espace naturel protégé.
Stratégie densification Z5, Thônex (GE)
↓Requalification de l’intramuros, Romont (FR)
Révision du Plan directeur de la Commune de Collex-Bossy, (GE)
AMO, Echirolles (FRANCE)
Révision du PDCom, Thônex (GE)
Etude-test Chamblioux-Bertigny, Fribourg (FR)
Les Communes voisines de Payerne et Corcelles-près-Payerne ont initié une démarche conjointe pour se doter d’outils d’aménagement opérationnels et coordonnés qui puissent cadrer les futurs projets développés sur leur territoire selon des exigences renouvelées en matière de qualités urbaines, paysagères, architecturales mais aussi climatiques et environnementales.
Le centre-ville de Payerne et les villages historiques au patrimoine architectural et paysager remarquable invitent à intervenir avec délicatesses au gré des projets. Les quartiers résidentiels nécessitent quant à eux une réflexion approfondie sur leur évolution souhaitable.
Partant de la lecture du territoire, de sa structure, des paysages et perles en présence, le Plan d’affectation communal devient l’outil privilégié pour la réalisation efficace des projets à toutes échelles ; en reconnaissant une diversité de situation, il accompagne les projets sans fixer une image trop figée en amont. Le PACom s’appuie sur une série d’intentions d’aménagement définies au début en tant que cadre de référence pour la formalisation de la planification.
Formant une bande de 550 m de long sur 40 à 60 m de large le périmètre du PLQ Ruisseau compose avec un environnement particulièrement complexe fait d’infrastructures lourdes – aéroport, autoroute, ligne à haute tension, conduite hydothermique Génilac – et d’une zone pavillonnaire au sud-est. Il a fait l’objet d’un premier projet de Vitrine Économique de l’Aéroport (VEA) proposant une prestigieuse façade de tours de bureaux en vis-à-vis du World Trade Center et de l’aéroport.
En 2020, une remise en question fondamentale de l’approche de ce projet est voulue, prenant acte de la transformation des besoins, des aspirations des citoyens et de l’évolution des modes de vie, mise en lumière par la pandémie mondiale.
Urbanité(s) est mandaté en association avec l’agence d’architecture François Leclerc et le paysagiste TER pour développer un concept totalement remanié, orienté vers les usages et les usagers, apportant une réponse innovante en termes de programmation, de forme urbaine, de flexibilité et de prise en compte des enjeux climatiques et de biodiversité.
La Commune de Collex-Bossy a souhaité mettre à jour sa vision pour l’évolution de son territoire par l’affirmation de son identité agricole, vecteur d’une économie locale et d’un paysage caractéristique, et la réalisation d’un lieu de vie agréable aux portes du centre de l’agglomération du Grand Genève.
Le projet prévoit la requalification des espaces publics centraux, en particulier le réaménagement des rues de village en (re)donnant une place aux piétons/cyclistes, et en réservant une place à l’arborisation pour créer des îlots de fraîcheur. Une stratégie est développée pour encadrer l’évolution des coeurs villageois au bénéfice d’un patrimoine architectural remarquable ainsi que des quartiers de villas qui prolongent avec cohérence le «village-rue» historique de Collex.
La valorisation de l’espace rural est opérée par le soutien à la production alimentaire locale et la coordination de ses différentes vocations entre agriculture, loisirs et biodiversité.
Le PDCom s’inscrit en outre dans une démarche de coopération intercommunale à l’échelle de la rive droite, échelle à laquelle une série de thématiques trouve une réponse adéquate : renforcement des liens MD/TP, développement des équipements sportifs, …
Secteur gare sud, Delémont (JU)
Bernex est identifié dans le projet d’agglomération en tant que polarité régionale. A ce titre, la commune va connaître une forte mutation avec la réalisation de plusieurs quartiers et l’accueil d’une zone d’activité. Ce changement est par ailleurs déjà amorcé avec le prolongement du tram et le réaménagement de la route de Chancy effaçant ainsi une coupure historique du territoire.
La révision de l’image directrice intervient à un moment clé. Il est question de définir les principes d’aménagement à même de garantir les continuités urbaines et paysagères, d’ancrer les centralités de quartiers et lieux d’intensités urbaines existantes ou futures et en somme de maintenir les équilibres d’un territoire qui se constitue sur une double identité : rurale avec un espace agricole étendu (et un paysage grandiose) et urbaine en tant que pôle (avec des services et commerces) à l’échelle de la Champagne genevoise. Tout en reconnaissant la grande valeur des tissus et paysages existants, la stratégie proposée envisage d’intégrer les projets futurs à cette trame en lui assurant sa qualité à long terme.
La démarche s’accompagne d’une série d’ateliers de co-construction poursuivant l’idée que le projet territorial se construit de manière collective dès son lancement, de l’état initial à la vision territoriale puis aux stratégies de mise en œuvre.
La Commune d’Aigle a souhaité se doter d’un outil d’aménagement opérationnel qui puisse cadrer les futurs projets développés sur son territoire selon des exigences renouvelées en matière de qualités urbaines, paysagères et architecturales.
Le centre-ville et les hameaux historiques au patrimoine architectural remarquable invitent à intervenir avec délicatesses au gré des projets alors que les quartiers le long des voies ferrées nécessitent une réflexion approfondie sur leur évolution souhaitable. Par une lecture fine du territoire, de sa structure, des paysages et perles en présence, le PACom devient l’outil privilégié pour la réalisation efficace des projets à toutes échelles. La stratégie développée reconnait des sites aux identités différenciées qui appellent des orientations d’aménagement adaptées finement au contexte et mises en œuvre selon des modes opératoires distincts : application de la règle du droit commun, études stratégiques sur les sites à forts enjeux de renouvellement urbain, études de détail préalables sur les sites sensibles du point de vue patrimonial. Le PACom accompagne ainsi une diversité de situation sans fixer une image trop figée en amont.
L’équipe pluridisciplinaire a mené cette étude selon une méthode de travail collaborative – celle des ateliers de projet – qui assure la prise en compte de l’ensemble des composantes de l’aménagement.
Le secteur des Communs fait partie de la zone industrielle de Mouille- Galand (ZIMOGA), intégrée à l’ensemble des zones industrielles de Meyrin, Satigny et Vernier (ZIMEYSAVER). Le PDZIMOGA n°29’976 adopté le 26 juillet 2017 cadre le développement de la zone sur le plan urbanistique. Le dossier réalisé s’intéresse à la mise en œuvre opérationnelle de ce développement pour orienter les stratégies à mettre en œuvre par la FTI.
La mise en œuvre de l’outil DIMZA (dimensionnement des zones d’activités) développé par I-Consulting dans le cadre de l’élaboration du PDCn a permis de définir la programmation. Deux orientations sont possibles sur la base du modèle DIMZA et du rapport offre-demande à l’horizon 2030 : le scénario « rentabilité » qui privilégierait la localisation d’activités industrielles productives, créatrices de richesses, et le scénario « besoin » qui privilégierait un développement en faveur d’une industrie résidentielle et urbaine. Le scénario « durable » se propose en intermédiaire visant à trouver un équilibre entre économie et social, la question environnementale étant intégrée dans les principes de bases du PDZI.
L’exercice programmatique détermine parallèlement des typologies de locaux correspondant aux différentes entreprises susceptibles d’être accueillies. Afin d’optimiser l’espace à disposition, selon leur nature, celles- ci peuvent être plus ou moins facilement regroupées au sein d’hôtels d’entreprises. Cette typologie d’immeubles détermine un découpage parcellaire préférentiel à l’intérieur de la structure donnée par le PDZI.
L’analyse urbaine complète les orientations d’aménagement du PDZI en soulignant l’importance de renforcer les liens avec le centre- ville de Vernier situé à 10mn de marche, de manière à trouver des synergies entre les besoins des employés de la zone et l’offre de service existante à proximité. Une répartition privilégiée des volumes bâtis est aussi proposée en cohérence avec l’environnement et l’occupation des parcelles voisines. Ainsi, la façade sud-ouest de la Zone est le secteur préférentiel pour implanter les très grandes unités correspondant à de grandes entreprises d’activité productive ou urbaine, exigeant parfois de clôturer leur parcelle.
L’objectif du plan guide est de construire une ville des proximités et des courtes distances, composée de quartiers animés et mixtes, avec des activités économiques intégrées au tissu urbain. Ces quartiers devraient proposer une offre de logements complète pour accueillir des populations aux ressources variées et pour permettre les parcours résidentiels. La répartition des lieux de travail et de production serait telle que les déplacements deviendraient limités.
Le plan guide est aussi l’occasion de poser la question du paysage et la manière dont ce morceau de ville pourrait se fabriquer grâce à lui. Le vallon du Fier est une situation ample parce qu’accrochée par la question de l’eau et de la nature à un vaste territoire en amont et en aval. Il s’agit aussi d’une épaisseur généreuse qui lui confère un grande légitimité dans un Grand Annecy qui s’étend en tout sens.
La ville nature – Reconnaître le Fier comme vaste espace de nature, au coeur d’un réseau de biotopes et d’espaces de loisirs, fédérateur pour tout le Grand Annecy
La ville vivante et à échelle humaine – Faire la ville d’abord par les espaces publics, les parcs et les bois, et d’abord pour l’être humain en travaillant notamment sur les coutures – liens entre le vallon, la ville, les centralités des communes – et en portant une attention particulière aux relations entre ces différents éléments, selon l’image du collier de perles
La ville productive – Faire revenir en ville les activités compatibles avec l’habitat, les anciennes activités (artisanat) comme les nouvelles (fablabs, co-working, etc.)
Le secteur de l’industrie est en pleine mutation urbaine. Autour de la gare SNCF, d’importants projets de densification en cours ou à venir viennent en remplacement d’anciennes friches industrielles. La récente implantation d’une surface commerciale au sud de la gare constitue par ailleurs un flux important de piétons et de véhicules.
La commande conjugue deux échelles d’approche : La première est celle d’un périmètre d’étude élargi, englobant le secteur d’activités de l’industrie, le hameau de Ternier ainsi que le secteur de la gare au nord des voies ferrées. S’y articule une étude préliminaire sur le franchissement des voies ferrées. La seconde échelle correspond à une phase d’étude opérationnelle sur un périmètre resserré, comprenant la requalification de l’ensemble des espaces publics du quartier. Ce plan d’aménagement constitue la première étape d’une future mutation du quartier. Il doit permettre d’assurer une mise en cohérence avec l’ensemble des projets en cours connexes.
Europan 15, Marseille (FRANCE)
La raréfaction du foncier et le renforcement de la protection des terres agricoles orientent l’urbanisation majoritairement vers le reconditionnement des territoires déjà urbanisés dans une logique de reconstruction de la ville sur elle-même : la zone villas constitue un vaste gisement potentiel de densification en ce sens.
L’étude s’intéresse aux instruments de planification et processus pour garantir une diversification des formes urbaines telles que voulues dans le Plan directeur cantonal. Entre la zone 3 et la zone 5, l’écart de densité et de gabarit autorisé est conséquent ; une forme urbaine intermédiaire devrait pouvoir être définie en trouvant des modalités règlementaires d’application.
Urbanité(s) propose d’élargir la recherche de nouvelles règles de zonage à la définition d’un instrument qui assortirait les limites de constructibilité exprimées en densité, gabarits et distances aux limites, aux invariants de l’espace public et équipements collectifs nécessaires, dans un esprit de facilitation du processus de transformation de la ville.
urbanité(s) a été mandaté pour travailler sur la valorisation d’un terrain situé à l’ange de la route de Jussy et la Voie Verte. Cette situation décisive à l’interface du centre et des quartiers pavillonnaires conduit à proposer une stratégie de densific qui s’inscrive dans une vision prospective de l’évolution de la commune, malgré le classement en zone villa du terrain. S’installant en lisière de parcelle orme urbaine plus compacte permet de dégager un parc qui constitue un maillon de la coulée verte, mesure d’aménagement paysager inscrite dans le projet d’agglomération. Le projet architectural de 77 logements décline et accompagne les principes d’aménagement – perméabilité piétonne et continuités des espaces publics – établis à chaque échelle de planification: plan directeur communal (PDCom), plan localisé de quartier (PLQ), autorisation de construire.
La prolongation du Tram 12 en direction du centre ville d’Annemasse amorce des changements majeurs sur l’axe historique de la Rue de Genève. La commune d’Ambilly souhaite développer une nouvelle centralité pour cette entrée de ville aujourd’hui constituée d’un tissu hétérogène et peu qualitatif. Le périmètre retenu correspond à un tissu pavillonnaire ancien, dont la trame viaire caractéristique est héritée de la culture maraichère en hutins.
L’enjeu du projet consiste à proposer différents scénarios d’aménagement pour développer des logements collectifs et un espace public qui incarnent cette nouvelle centralité, tout en préservant les qualités reconnues sur le site. Les principes d’implantation invariants pour chacun des scénarios permettent de favoriser les perméabilités piétonnes et visuelles de part et d’autre de la rue de Genève, et garantissent un phasage de l’opération en lien avec le maillage parcellaire.
Les 3 scénarios proposent des espaces publics différenciés en lien avec la Rue de Genève et l’arrêt de tram. L’émergence d’une ou plusieurs centralités permet de développer des rez-de-chaussée actifs. Les scénarios anticipent l’hypothèse d’une future mutation de la zone villa adjacente en proposant des gabarits transitoires.
Instituée en Métropole le 1er juillet 2016 sur le territoire de ses 20 communes, le Grand Nancy a lancé l’élaboration de son Plan local d’urbanisme intercommunal. Les modalités de concertation prévoient la mise en place d’ateliers de co-production avec la société civile en préalable à l’établissement du Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD). La conception et l’animation de ces ateliers sont confiées au bureau urbanité(s).
Réunissant 60 à 80 personnes les ateliers sont organisés sous forme de tables rondes. La méthode proposée croise les entrées thématique et territoriale facilitant l’appropriation et la concrétisation des concepts. La synthèse est présentée dans le Centre Jean Prouvé devant 150 personnes.